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Violences sur les arbitres; une décision finalement prise par la FHF?

Logo de la Fédération Haïtienne de Football.

Ces derniers jours, dans presque tous les medias, on ne parle que de violences sur les arbitres, un phénomène devenu monnaie courante et qui ne fait que noircir l’éclat du sport roi en Haïti. Les cas de violences sont si nombreux que plusieurs groupes d’arbitres ont pris la décision de ne plus officier à moins que la situation ne s’améliore. Face à cet état d’alerte, la FHF se voit dans l’obligation de placer son mot.

Le football haïtien au bord du gouffre

Alors que nous jouons seulement deux tiers de la partie régulière de la série d’ouverture du championnat national (D1 masculine), la compétition est sur le point de connaitre un moment d’arrêt suite à la décision de tous les groupements d’arbitres sur toute l’étendue du territoire national d’observer une pause le temps que des décisions soient prises. Une situation qui met le football au bord du gouffre. Comme organisme régulateur du football dans le pays, la FHF par l’étruchement de son secrétaire général, Carlo Marcelin, appelle les dirigeants des clubs (D1 et D2 masculine et foot féminin) à se réunir dans l’immédiat, laquelle réunion se tiendra le samedi 14 novembre prochain de l’année en cours à l’hôtel Marriott.  » Cette rencontre sera l’occasion d’aborder la montée des cas de violences dans les rencontres des compétitions nationales et de prendre les dispositions nécessaires en vue d’éradiquer ce fléau tenant à détériorer l’environnement du football haïtien « , a écrit le numéro 2 de la FHF.

L’heure d’appliquer enfin les lois ?

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Il n’y a pas trop longtemps, M. Marcelin a menacé les clubs de graves sanctions en cas de recidivisme. Au lieu de se conformer, les clubs ont fait pire. Plusieurs arbitres et joueurs sont battus presqu’à chaque journée. Les parcs sont transformés en de véritables jungles où la férocité fait la loi. Aussi féroce que puissent être le lion, le tigre, le léopard ou l’ours, ils sont domptables. Le championnat est régit par un protocole dans lequel se trouvent les sanctions. Si les sanctions étaient proportionnelles aux actes, il n’y aurait peut-être pas eu ces genres d’agissement. Peu importe le cas, une décision sera prise. Soit on blâme les clubs fautifs et qu’on recommence sur de nouvelles bases, soit ceux qui cassent les verres les paient, ce qui serait la moins probable.

La partialité de la COCHAFOP remise en question ?

Plusieurs critiques font de l’instance présidée par Jean-Daniel Charles la véritable responsable de tous ces actes de barbarisme. Selon eux, l’ancien dirigeant de Tempête ne prend que de décisions partisanes. Malgré une fin de championnat hypothéquée, la COCHAFOP a programmé certains matches, un signe d’insouciance, commentent quelques-uns.

Si les championnats nationaux sont une chanson, le refrain n’est autre que les violences sur les arbitres et nous attendons ce que pourrait apporter cette réunion au sommet entre les différents responsables des clubs. L’on ne saurait laisser ce contexte perdurer tant que le football coulera dans nos veines.

106 Comments »

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